Where the wild things are
Max et les maximonstres est un film déroutant. Connaissant par cœur l'album dont il est tiré, je ne m'attendait pas à ce que le film dégage autant de tristesse et de nostalgie. Les créatures fantastiques sont touchantes probablement parce qu'elles nous ressemblent beaucoup : elles expriment des sentiments forts comme "les ravages de l'état amoureux, la logique d'appartenance au groupe et la peur d'en être exclu, et, surtout, la conscience diffuse mais tragique de la brièveté des choses" (cf. article Télérama).. Malgré tout, le film de Spike Jonze reste fidèle au livre (même si ce n'est pas comme ça que je l'aurais interpré- té !), les personnages sont parfaitement reproduits, et j'en garde un souvenir marquant...
Illustrations de Maurice Sendak
La Revue des livres pour enfants a consacré un numéro à l'œuvre de Sendak : Sommaire du numéro, et lien vers l'ensemble des articles numérisés en pdf.